La difficulté sportive de la Course du Cœur relève de plusieurs facteurs : répétition des épreuves (une à deux étapes par jour), étapes de nuit, manque de sommeil (pas de vraie nuit à l'hôtel), longueur des étapes (26 km pour la plus longue cette année), météo parfois hostile, diversité et violence des efforts (étapes en ligne mais aussi relais volants que vous avez pu apprécier dans les vidéos). Pas étonnant dans ces conditions que de vrais spécialistes se disputent les épreuves combinées run & bike.
Chaque année, je souligne le rôle capital de la vingtaine de kinés (bénévoles !) qui accompagnent la Course du Cœur. Les massages prodigués jusque tard dans la nuit sont essentiels à la récupération et à la prévention des blessures. Et dans la journée, leur bonne humeur et leurs animations déguisées le long de la route se perpétuent depuis toujours. Bravo les kinés !
Les Survoltés complètent les soins par des séances de vasoconstriction improvisées dans les bassins froid des Place de l'Eglise en face du Café du Commerce. Quel professionnalisme ces Survoltés ! Marina en a le souffle coupé.
Frédéric Lesur
Je n'aurai jamais imaginer m'afficher sur votre blog. Mais bon, défit lancé, défit relevé ! Marina
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