Semi-marathon de Paris- 2011 |
On me dit souvent qu’il faut être dingue pour aller courir comme ça, dans le froid, l’obscurité et même parfois (les jours de chance) sous la pluie… Mais voilà, la course à pied (CAP pour les intimes) et moi, c’est une longue histoire. Au début, tout n'était pas rose et durant les années collège j'avais plutôt l'habitude de me cacher dans un coin du stade pour éviter les tours de piste. Vint ensuite la révélation durant les années de prépa où la course s’est avérée être l'exutoire idéal ! Depuis quelques temps, j’ai abandonné la pratique en solitaire pour m’adonner aux joies de la course en club.
Au final, sans prétendre affoler les chronos, la CAP reste pour moi une occasion de cultiver ma capacité à m'engager pour décrocher de nouveaux objectifs et continuer ainsi à aller plus loin. Et comme vous pouvez le constater, je le fais en gardant le sourire parce que la CAP est également source de plaisir... si si, j'ai bien dit PLAISIR !
La course du cœur dans tout ça ? Découverte dès mon arrivée à RTE grâce à l’un de ses illustres coureurs (et fondateur de ce blog), Frédéric Lesur, cette manifestation m’a immédiatement séduit. C’est à la fois un engagement pour une cause à laquelle je suis plus que sensible, et une aventure humaine qui s’annonce exceptionnelle. Il n’en fallait pas plus pour que je partage l’engouement de Fred’.
Je parlais à l'instant de plaisir, aujourd'hui, pouvoir rejoindre l'équipe 2012 pour continuer à faire parler du don d'organes, c'est déjà le bonheur ! Au passage, vous remarquerez qu'elle peut s'enorgueillir d'un AAA féminin !! :) Désormais, j’attends de pied ferme le 28 mars pour pouvoir répondre au défi lancé par la course du cœur : « Alors… CAP ou pas CAP ? »
Gaëtan Gutierrez
Bon courage Gaetan!!
RépondreSupprimerOn sera tous derrière toi pour supporter l'équipe RTE.
Bonne course du coeur!