Pour être certains d'arriver dimanche aux Arcs, il ne faut pas trop traîner en route. D'où la nécessité de courir jour et nuit.
Fabrice |
Cest pourquoi un pseudo-système de "trois huit tournantes" est instauré. Le groupe A fut le premier à prendre les relais après 22h30, au sortir de la ville de Paris.
Frédéric G. |
Nous nous sommes peu croisés aujourd"hui car les héros de la nuit ont récupéré avant de reprendre du service très bientôt, mais j'ai cru comprendre qu'ils étaient satisfaits et heureux de leurs étapes.
Nicolas |
Pierre |
Je reprends la route dans quelques minutes pour suivre à mon tour le prochain groupe de nuit : Jérôme, Anne B., Aurélien et Christian. A demain !
Frédéric
S'il est difficile de courir la première nuit - on a le temps de s'interroger s'il est bien raisonnable d'arpenter le bitume à 4 heures du matin ? - l'équipe qui court la seconde nuit réalise un exploit encore plus surréaliste que seule la motivation de la cause du don d'organes peut physiologiquement expliquer : nos noctambules ont probablement mal dormi la nuit de mercredi à jeudi, ils ont déjà donné une grande part d'eux-mêmes ce jeudi matin pendant qu'on suivait leurs performances derrière notre écran, et ils doivent repartir pour des épreuves qui n'en finissent pas avec pour seul horizon celui que veut bien leur offrir la lumière des phares de la voiture suiveuse ou de leur lampe frontale. Bonne chance Jérôme, Anne, Aurélien et Christian ! Ne vous laissez pas rattraper par Morphée, il n'est pas dans notre équipe !
RépondreSupprimerAllez mon frère !!
RépondreSupprimerEn plus t'as l'air en forme
Cyrille et Christelle